Non, l’augmentation du prix des timbres n’est pas une fatalité
Le prix des timbres a continué à augmenter en 2019. Pour la première fois, le prix du timbre rouge va même passer le seuil symbolique d’un euro. Pourtant, des solutions existent pour limiter la hausse des tarifs postaux, présentée comme une fatalité par le Groupe La Poste. Simplifier la distribution pour proposer des tarifs compétitifs assortis d’une qualité de service irréprochable, voilà justement la mission des nouveaux opérateurs postaux.
Du jamais vu ! En 2019, il faut désormais débourser 1,05 euros pour envoyer un courrier au tarif prioritaire, le fameux timbre rouge, contre 95 centimes l’an passé. Soit une hausse de 10,5 % d’une année à l’autre. Et le timbre vert n’est pas en reste, puisqu’entre 2018 et 2019, il augmentera lui aussi de 10 %, passant de 80 centimes à 88 centimes.
Une augmentation continue des prix du timbre
Et encore, ce n’est pas fini, puisque l’Arcep, l’autorité de Régulation des Communications Électroniques et des Postes, qui valide la grille tarifaire du Groupe La Poste, a autorisé l’opérateur à augmenter ses tarifs de 5 % chaque année jusqu’en 2022.
De son côté, La Poste justifie ces augmentations permanentes par la baisse continue des volumes du courrier sous l’effet des mails et autres messageries électroniques. Certes, on observe bel et bien une diminution moyenne de 6 % du nombre de lettres échangées chaque année en France depuis 5 ans. Pourtant, d’autres segments de marché affichent un véritable dynamisme. C’est le cas par exemple du courrier recommandé, qui augmentait par exemple de 6 % entre 2015 en 2016, enregistrant ainsi sa plus forte croissance au cours des dix dernières années.
Pour La Poste, ces augmentations tarifaires permettent de « maintenir la qualité de service » et de « pérenniser le service universel du courrier », comme l’a déclaré à l’AFP Arnaud Tomasi, chargé de la politique tarifaire courrier-colis à La Poste. Selon lui, alors que le volume de lettres diminue, La Poste continue « d’avoir autant de boîtes aux lettres à desservir et autant de kilomètres à faire par les facteurs ».
Simplifier la distribution pour lutter contre les hausses tarifaires
C’est précisément sur ce point que l’argumentaire déployé par Le Groupe La Poste mérite d’être commenté. En effet, le numérique apporte des solutions pour résoudre cette difficulté que La Poste présente comme insoluble autrement que par des hausses tarifaires. C’est précisément la mission que se sont fixés les opérateurs postaux privés comme Novea.
Chez Novea, nous refusons en effet de faire de l’augmentation du prix du timbre une fatalité. Notre solution SaaS permet de traiter l’ensemble du courrier postal sur un mode hybride. En clair, il suffit de télécharger sur notre plateforme votre document (sous format .doc, .docx, .odt, pdf ou rtf) à envoyer par voie postale. Il sera ensuite imprimé par nos soins, au plus près de sa zone de distribution. Une manière simple et efficace de limiter le nombre de kilomètres parcourus, contrairement à ce qu’avance La Poste. Bien sûr, notre offre de services s’applique aussi bien au courrier simple, qu’à la lettre recommandée ou à l’envoi en nombre.
Il suffit de vous connecter sur notre plateforme pour expédier tout le courrier que vous souhaitez, sans vous rendre au bureau de poste, et en limitant les distances parcourues par nos préposés chargés de vous remettre le courrier. Ce modèle hybride d’envoi du courrier postal permet non seulement de limiter les coûts de distribution, puisqu’il limite le nombre de kilomètres parcourus, mais aussi de lutter contre les émissions de CO2, (d’autant plus que tous nos véhicules sont électriques). Il permet enfin d’affirmer que les hausses tarifaires pratiquées par Le Groupe La Poste ne sont pas une fatalité.
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